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REQUIEM POUR UNE APACHE – coups de cœur

Un florilège des premiers avis de lecture des librairies ! Merci !

Requiem pour une apache de Gilles Marchand

Jolene n’est pas la plus belle, ni forcément la plus commode. Mais lorsqu’elle arrive dans cet hôtel, elle est bien accueillie. Un hôtel ? Plutôt une pension qui aurait ouvert ses portes aux rebuts de la société : un couple d’anciens taulards qui n’a de cesse de ruminer ses exploits, un ancien catcheur qui n’a plus toute sa tête, un jeune homme simplet, une VRP qui pense que les encyclopédies sauveront le monde et un chanteur qui a glissé sur la voie savonneuse de la ringardisation.

 

Quelques avis de libraires :

Hugues, Librairie Charybde : « Ce quatrième roman réussit à nouveau le pari de créer chez la lectrice ou le lecteur, jusqu’à ses dernières pages, une forme rare de déséquilibre diablement attachant. »

Françoise, Librairie Le Coin des livres : « Gilles Marchand manie la plume avec lyrisme et a un vrai univers littéraire, constitué d’un brin de fantaisie, de beaucoup de tendresse, d’humanité, d’humour et de rock’n roll. C’est l’histoire d’une résistance, politique et poétique pour le droit à être différent. »

Delphine, Librairie AB de Lunel : « Touchée en plein cœur, une fois encore. Rendez-vous à la rentrée pour une grande bouffée de poésie. »

Anthony, Librairie Fontaine Villiers : « Il faut plonger tête première dans cette lecture foisonnante qui a constitué, pour moi, un immense coup de cœur. »

Tous les avis sont ici.

 

Le mot de l’éditeur :

« La sortie de Requiem pour une apache de Gilles Marchand marque les dix ans des éditions Aux forges de Vulcain. Dix ans, pour une maison d’édition, c’est peu, mais c’est assez pour mesurer le chemin parcouru et je ne pouvais rêver d’un texte plus symbolique pour cette date. Car une grande partie du chemin qu’ont parcouru les forges de Vulcain l’a été grâce à Gilles. Je l’ai rencontré au salon du livre 2015. Il avait aimé un roman des forges, et lu un entretien où j’expliquais comment je travaillais. Il avait un manuscrit sous le coude. Plusieurs personnes lui avaient dit : c’est un bon texte, mais quelque chose, dedans, ne fonctionne pas. Il me l’a confié, me disant que je semblais être la bonne personne pour l’épauler. Je lis le texte et lui demande de me dire ce qu’il a voulu raconter avec ce roman. Et là, il me raconte une histoire qui me touche et m’émeut, et je lui dis, ce n’est pas l’histoire que j’ai lue. Il sourit, reprend son manuscrit, revient quelques semaines après. Le texte était désormais parfait. C’était Une bouche sans personne. Ce roman fut comme l’occasion d’une renaissance pour les forges. Elena Vieillard, notre graphiste, réinventa, pour ce livre, nos couvertures. Et ces nouvelles couvertures plurent. Et ce beau texte, dans ce nouvel écrin, plut. Je dois beaucoup à Gilles, car il a eu du succès (c’est utile le succès, cela permet d’atteindre nos dix ans !), mais aussi parce qu’il m’a permis d’établir, une règle, la règle des forges, de ne pas publier que des textes, mais de publier aussi des personnes, de les encourager à aspirer à l’idéal, puis de les aider à atteindre cet idéal, titre à titre, en construisant une œuvre. Requiem pour une apache est le troisième roman de Gilles Marchand, c’est un livre manifeste pour les forges, une ode à l’amitié, à la solidarité, à l’idéalisme et au réalisme, un texte poétique et politique. C’est un texte qui dit beaucoup de notre époque et de notre destin collectif. Dans Une bouche sans personne, Gilles explorait ce qui reste en nous de notre passé, dans Un funambule sur le sable il montrait le sort fait à une personne différente. Dans Requiem pour une apache, on retrouve son humour, sa mélancolie, mais son écriture prend une amplitude nouvelle, en dressant un grand portrait des invisibles, de celles et ceux qui font tourner la société. Trois romans : le passé, le présent, et désormais : l’avenir. »