Matari, qui s’était enfoncée dans la nuit neigeuse dans l’espoir d’y mourir, est sauvée et recueillie par Oboko, un poète et moine bouddhiste.
Honneur, poésie, philosophie, amour s’affrontent dans ce huis clos neigeux, où Luke Rhinehart, en rendant hommage aux Sept samourais du cinéaste japonais Akira Kurosawa, parvient, comme dans nul autre roman dans son œuvre, à exprimer la nécessité existentielle du détachement de soi, comme seule voie, dans un monde où tout est vain, et destiné à mourir, pour connaître la joie, les rires, l’amitié et l’amour.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Francis Guévremont