La presse en parle
Ma chèvre s'est mangé les pattes
De Alex Burrett
Collection : Fiction
Retour à la fiche du livre« Si ces différents textes déclenchent une hilarité irrépressible qui vous fera passer pour une folle auprès des gens qui vous entourent, c’est pour mieux vous asséner une vérité en pleine poire au détour d’une situation loufoque. […] Bref, un recueil intelligent et hilarant qui offre une nouvelle vision du monde qui nous entoure à travers des textes farfelus mais non dénués de sens ! » (la suite, ici)
« Tous traités avec un humour caustique, ces 31 textes, […] m’ont convaincue que l’on peut rire de tout tant que c’est joliment écrit. » (la suite, ici)
« Burlesque, décalé, complètement britannique, Alex Burrett nous propose un recueil que ne renieraient pas les Monty Python, tant il est capable, en partant d’hypothèses complètement impropables, de nous mener par le bout du nez dans des directions inattendues tout en analysant le fonctionnement de notre société. Contes immoraux contés comme des histoires banales, Alex Burret vient perturber notre quotidien avec ses histoires fantasques, et ce pour noter plus grand plaisir ! » (Marcelline in Un dernier livre avant la fin du monde)
« Qu’il soit noir, grinçant, pince-sans-rire, ou simplement anglais, l’humour nous est vital, profitons donc des trente-et-une nouvelles d’Alex Burrett, car « le ballon-rire ne doit jamais toucher terre. S’il entre en contact avec le sol, on meurt tous. » » (Mes Imaginaires)
« Paradis, enfer, tueur en série, amitié, amour, sexe, supers pouvoirs, solitude, … Tout le monde devrait y trouver son compte. » (Chimerik)
« Alors si vous avez envie de comprendre comment fonctionne un abattoir humain de luxe, d’avoir un aperçu d’une société non-violente mais dystopique, de goûter à la confiture de l’ex-femme de Dieu, de rencontrer Crabman, et d’enfin savoir pourquoi cette fichue chèvre s’est mangé les pattes, lisez ce recueil ! » (Un papillon dans la lune)
« Ce qui me fascine c’est cette propension à entraîner le lecteur dans des univers inédits, incroyables, impensables et impossibles. » (la suite, ici)
« On y retrouve la marque de fabrique des Éditions Aux Forges de Vulcain le côté « poptu » populaire et pointu ! Et le côté je ris mais il ne faudrait pas… c’est trop cruel, trop acide… Ce n’est pas cynique, ni ironique… j’ai du mal à dire a quel type d’humour correspondent chaque nouvelles. Est-ce le côté anglo-saxon ? Le mieux c’est de le lire […] » COUP DE COEUR du blog
Le billet est précédé d’un entretien avec l’éditeur.
« Le titre peu ordinaire de ce recueil de nouvelles qui est également celui du premier des trente et un textes cache un univers à la fois baroque, loufoque complètement barré pour le meilleur d’une écriture exceptionnelle. Alex Burrett a soif de mots et s’en sert pour inventer des situations incroyables qui vous surprennent à chaque histoire Des personnages cannibales, une chèvre qui se mange les pattes pour éviter la famine, deux amoureux qui ne peuvent vivre que collés l’un à l’autre tellement ils s’aiment, des abattoirs humains qui font froid dans le dos, un chagrin d’amour poétique et tant d’autres folies littéraires. Nous sommes très souvent proche d’un Boris Vian, Dino Buzzati ou encore Italo Calvino voir Salman Rushdie pour le mélange entre réalité et conte pour adulte. Un livre à dévorer d’urgence pour connaître de vraies émotions dans tous les sens du terme. Un chef d’oeuvre. » (Emmanuel, de la Librairie Gandossi, Saint-Brice-sous-Forêt)