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Le Puits au bout du monde : La Route des dangers
De William Morris
Collection : Fiction
Résumé
Rodolphe, jeune chevalier errant parti à la recherche du Puits au Bout du Monde, se retrouve enfin seul avec la mystérieuse enchanteresse dont il est passionnément épris. Mais de tragiques événements viennent interrompre ce bref moment de bonheur, et c’est l’âme en berne que notre héros reprend sa quête, désormais hanté par le souvenir de deux femmes : la Dame de la Forêt, qu’il laisse derrière lui, et la Demoiselle de Fort-l’Abbé, dont il suit la trace sur la route du Puits et qui, à plusieurs reprises, lui apparaît en songe. Au cours d’un périple qui le mène toujours plus loin vers l’Est, au-delà des montagnes, des collines et des plaines, Rodolphe retrouve de vieilles connaissances et fait de nouvelles rencontres : le bandit Taureau la Hure, Mort-Fine le ménestrel, la douce reine de Bourg-l’Or et Gandolphe, le sinistre tyran d’Outre-Malmont, dont les terres s’étendent aux pieds de la gigantesque Muraille du Monde. Le Puits se trouvera-t-il vraiment au-delà ?
Quête initiatique, roman d’éducation fantastique, récit d’aventures, Le Puits au bout du monde (1896), dont La Route des dangers est le second des quatre volumes, a durablement influencé la littérature fantastique anglaise et particulièrement ses deux maîtres, C.S. Lewis et J.R.R. Tolkien.
Informations
- Genre : Roman
- 292 pages
- Format : 13 x 20 cm
- ISBN : 978-2-919176-31-1
- Date de parution : 03 Octobre 2013
- Traduction de l’anglais de Maxime Shelledy
À propos de William Morris
William Morris (1834-1896) fut imprimeur, poète, écrivain, peintre, conférencier, dessinateur, architecte et activiste socialiste. Le Lac aux îles enchantées (1897) fait partie de ses derniers ouvrages, qui ont durablement influencé la littérature fantastique anglaise.
A lire aussi, un autre entretien, avec le même David Meulemans, pour le magazine Histoire et images médiévales, qui souligne davantage le caractère paradoxal de l’oeuvre de Morris, qui se tourne à la fin du XIXème siècle vers la littérature allégorique, alors que l’esprit de son temps semble se tourner vers le naturalisme.