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La presse en parle

Chronique des jours de cendre

De Louise Caron

Collection : Fiction

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« On en ressort grandi, informé autrement et peut-être même plus humain qu’avant. » (la suite ici)

« Ce roman coup de poing m’a happée, bouleversée, questionnée. Il est de ceux qui habitent ses lecteurs longtemps après en avoir tourné les dernières pages. Et pas uniquement parce qu’il fait écho à une brûlante actualité. »(la suite, ici)

« Une très belle démonstration de l’iniquité de la violence dans le discours politique et familal. »(la suite, ici)

« Cette chronique est un magnifique récit sur la vengeance, sur le destin, sur une certaine forme de fatalité, sur une autre de futilité. Louise Caron livre un récit plein d’humanité dans le sens de nature humaine dans ce qu’elle comporte de parts de lumière et d’ombres, de feux et de cendres. » (la suite, ici)

« Louise Caron a su parfaitement mettre en forme la vie en temps de guerre, celle des soldats envoyés en pays ennemi pour ramener la paix, éradiquer la violence et aider les populations à se reconstruire, mais aussi la vie de centaines de familles détruites par la guerre, d’enfants orphelins qui on vu leur parents mourir et leur maison soufflée par les bombes, des hommes et des femmes qui s’enrôlent par vengeance dans les milices et des amoureux qui tentent de vivre leur amour malgré les balles. » (La suite, ici)

« Ce roman nous pose des questions, il nous dérange, il nous bouleverse. Je me sens un peu sans voix après cette lecture. Il y a tellement de choses à dire à propos de Chronique des jours de cendre, tant de sujets abordés, tant de pistes de réflexion et d’émotions différentes provoquées. Je vous encourage vraiment à le lire. » (La suite, ici)

« Un roman perturbant et fort en émotions. Nous passons près de trois cent pages dans un monde où la guerre règne pourtant ce n’est pas ce qui ressort de ses pages. » (la suite, ici)

« Par ce livre, Louise Caron a entrouvert une porte vers l’universalité de la souffrance humaine, chose dont la littérature et les arts ne cessent de s’en inspirer. » (La suite, ici)

« La très belle écriture de Louise Caron sert avec brio un roman bien pensé, aux relents de tragédie grecque, qui vous touche directement au cœur. » (La suite, ici.)

« Je conseille ce livre à tout ceux qui veulent découvrir une belle histoire d’humanité. » (la suite, ici)

« Tout compte fait, cette alternance narrative de l’Irak et des États-Unis ne souligne pas tant des différences irréconciliables entre les peuples que des façons de résister à l’injonction générale et déshumanisante de la guerre. » (Gregory Mion, Stalker. La suite, ici.)

« Tant de questions sont ici posées avec une grande acuité ; l’intérêt de ces pseudos conflits de libération, la manipulation mentale, les excès de l’intégrisme religieux, les sacrifices que l’on est prêt à faire pour l’être aimé, le patriotisme excessif et la connaissance et le respect de l’autre, des autres cultures…Brillant et un grand style de narration, non sans rappeler les livres de Toni Morrison. » (La suite, ici)

« Assez vite le lecteur plonge dans ce roman qui nous surprend et parfois subjugue. Sans doute le talent de Louise Caron. Sur un sujet déjà pas mal exploité en littérature et en cinéma, le récit de personnages évoluant dans une guerre, elle sait trouver le ton juste, avec un style sobre, avec en prime, l’art de poser les bonnes questions. » (La suite, ici)

 » Trois destins pris dans le tourbillon de la guerre, impuissants et ballottés par les évènements, trois vies en dérive, inexorablement. Malgré la violence, les horreurs et la dureté des évènements, avec le destin de ses personnages émouvants, Louise Caron, sans aucun parti pris, réussit le tour de force de happer le lecteur. »

LECTURE DE LA PREMIERE PAGE DU ROMAN.

« « Chronique des jours de cendre », est un roman à lire absolument » (la suite, ici)

« En conclusion, Chronique des jours de cendre est un magnifique roman qu’il faut lire absolument. » (La suite, ici)

Avis de lectrice: « Sur et avec des gens comme nous, pensons-y toujours. Dans ce récit chaleureux, nous approchons les « dommages collatéraux » – ces mots criminels qui effacent l’humain – et ils ont notre visage, de terre et de lumière. Il n’est pas indifférent que l’auteur soit une femme, qui a su, avec la force de l’intrigue, conjuguer l’attention à tous, Naim et Sohrab, jeune couple d’étudiants progressistes embarqués dans une bande armée, elle pour le suivre et si possible le protéger, lui, artiste à l’identité complexe, jadis cachée et qui se révèlera dans les dernières pages.  »

(La suite, ici)

« L’auteur ne laisse pas respirer le lecteur qui est piégé par sa maîtrise du drame et du suspens. Je l’ai lu d’une traite et je n’ai éteint la lumière qu’à la dernière page. Une nuit de lecture qui m’a fait me poser des questions sur ce que la guerre fait aux homme. A lire absolument. Un roman magnifique. » (La suite, ici)

« Louise Caron ne laisse aucun répit à ses personnages. Ils ressortent exsangues. Ils suent. Ils y mettent toutes leurs tripes pour forger l’histoire. L’absurdité menée avec brio ! » (la suite, ici)

« C’est avec beaucoup de plaisir que j’ai retrouvé la plume de Louise Caron et, une fois de plus, la magie a opéré avec ce roman très touchant traitant d’un thème encore trop peu traité en littérature. Si vous aimez les personnages très forts et très touchants, si vous aimez les histoires qui font réfléchir et remettre en cause tout ce que l’on croit pouvoir connaître, n’hésitez pas. » (La suite, ici)

Coup de cœur du blog: « Un très beau roman » (La suite, ici)

 » D’une écriture claire et sensuelle, comme le remous d’un torrent, elle narre un quotidien palpable, des pensées intérieures et des cheminements dramatiques. » (La suite, ici)

« Vous l’aurez compris c’est un roman qui ne laisse pas insensible et prenant.  » (La suite, ici)

« Jamais je n’aurais imaginé qu’en ouvrant le livre de Louise Caron  » Chronique des jours de cendre  » je franchirais aussi vite, en quelques pages, une véritable porte  » espace-temps « . Le problème c’est qu’une fois que vous avez passé ce genre de seuil, impossible de revenir en arrière ! Un sens unique où le talent littéraire vous piège tout au long des quelques deux cent quatre vingts pages de l’ouvrage.

Piégé d’abord par ce qui est le socle du roman : le contexte de guerre irakien de l’année 2007, dans toute sa brutalité et… tellement d’actualité encore aujourd’hui ! A part la recherche documentaire formidable concernant cette période, il ne fait aucun doute que la femme de théâtre, est venue avec son expérience donner un coup de main à Louise, l’écrivaine, pour concevoir minutieusement l’ensemble des différents décors de l’œuvre. D’une réalité quelques fois effrayante, ils viennent soutenir efficacement la trame de l’histoire dont l’originalité est parfaitement servie par les différents personnages de fiction.

Dans son récit, très bien construit, l’auteure emploie souvent délibérément des mots aussi crus que les actions qu’ils décrivent. Une nécessité pour traduire sans ambiguïté et avec force toute l’exacerbation des instincts basiques de la nature humaine dans ce monde de désespérance et de violence. Parmi les principaux protagonistes de cette histoire et sans rien en dévoiler, c’est la personnalité de la jolie Sohrab qui m’a le plus impressionné. Un portrait complexe, tout en profondeur, avec assez de nuances pour le rendre particulièrement attachant malgré les circonstances. D’ailleurs le dénouement du roman m’a laissé un vrai goût de cendre dans la bouche. Serais-je devenu amoureux ? Ah bravo Louise !… » (l’adjoint au Maire de la ville d’Anduze)