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La presse en parle

Un funambule sur le sable

De Gilles Marchand

Collection : Fiction

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« La force de Gilles Marchand est de créer au-delà du temps réel, un temps de l’imagination avec toutes ces variations de sens, de sentiments et de rêve. Un des plus beaux et intenses romans de la rentrée littéraire. » (la suite, ici)

« Un roman d’apprentissage dans lequel l’auteur apporte une touche de fantaisie non sans rappeler l’univers de Mathias Malzieu. Un garçon nait avec un violon dans la tête, va devenir LA curiosité de tous, va apprendre à vivre avec cette différence, à se construire et devenir adulte. Amateurs de chanson française et pop/rock des années 60/70, vous serez ravis par la bande son de ce roman. »

« Poignante réflexion feutrée sur la nature intime et sociale du handicap et de la distinction, « Un funambule sur le sable » développe au fil des pages sa magie particulière en laissant subrepticement le réel être contaminé par le fantastique, le merveilleux et l’étrange, multipliant doucement les indices et les traces de cette pénétration de la différence, socialement acceptable ou non, dans le quotidien. (la suite, ici)

« On retrouve la patte étrange et magique du romancier, aux accents de Boris Vian, pour un moment de lecture aussi charmant qu’inoubliable. » (la suite, ici)

« C’est un voyage initiatique et une histoire d’amour sans fioriture. C’est l’histoire de Stradi, l’enfant qui avait un violon dans le crâne. J’ai grandi, souffert et aimé avec lui ainsi qu’avec son entourage haut en couleur. C’est un développement de vie sensationnel, bercé par une musique toujours plus riche, toujours plus entraînante. Laissez-vous porter à votre tour ! »

« En voici un joli conte, une grande histoire d’amour. Gilles Marchand, auteur de la très remarquée Bouche sans personne récidive et place son Funambule encore un cran au-dessus. Certainement l’histoire la plus folle, la plus drôle, la plus tendre et la plus belle que vous lirez cette année ! »

« Poésie de la différence.

Très original, surprenant et plein de poésie ! Gilles Marchand, déjà très remarqué en librairie pour son premier roman Une bouche sans personne, revient avec un nouveau roman plein de tendresse, d’humour et le grain de folie nécessaire à toute grande histoire.

Suivez l’incroyable destin de Stradi, un enfant qui naît avec un violon dans la tête. L’instrument, qui grandira avec lui, lui permettra de communiquer avec les oiseaux et accompagnera en musique tous ses émois, dévoilant au grand jour ce qu’il ressent à chaque instant. Un livre sur la musique, les émotions, qui fait battre nos cœurs, nous fait sourire et pleurer tout à la fois. La proposition d’un inversement de nos perspectives habituelles sur la différence, qui devient solaire, enviable… Un régal » !

« A lire pour cette grâce déposée, même dans les moments les plus difficiles, pour cette prose vraie et délicate : un récit aussi sensible que Stradi, cet homme violon. » (la suite, ici)

« Un magnifique roman, qui se dévore avec bonheur. Gilles Marchand vient nous questionner sur notre rapport à la différence, tout en finesse et avec beaucoup d’humour. »

« Cette fois, plus de doute, Gilles Marchand est le Boris Vian du 21ème siècle. Un roman métaphorique et poétique sur la différence et le vivre ensemble. Coup de cœur ! » (en images, ici)

« Dans une langue épurée et limpide, Gilles Marchand nous livre un écarteur de cerveau à la Gondry ou à la Terry Gilliam, emprunt d’images insensées, du papa inventeur au médecin dompteur de cordes. Comment le Grand Amour s’invitera t il dans cette danse vitale et pourra t il survivre ? Un absolu romantisme pour nous guérir du cynisme du monde. » (la suite, ici)

« Un livre qui comme le 1e roman de l’auteur aura une place particulière dans mon panthéon de lecture, une exception, une belle surprise, une parenthèse d’émotion qui m’a scotchée et retournée le cœur. La magie a opéré de nouveau et je me suis laissée happée par la musicalité des mots, l’univers doux dingue, hyperbolique de Stradi. » (la suite, ici)

« Ce livre est un véritable moment de poésie… J’en suis encore émue… Coup de cœur! Ce roman est à lire absolument! » (la suite ici)

« Il y a des livres qui ont le pouvoir de vous modifier durablement et en profondeur. Après son remarquable premier roman « Une bouche sans personne », Gilles Marchand nous conte une fable intimiste passionnante. Stradi est né avec un violon dans la tête et va devoir faire preuve d’un optimisme infaillible pour s’intégrer dans une société à priori hostile à toute différence; et du courage et de l’obstination il ne faut pas en manquer pour parvenir à exister sans renoncer à ce qui fait son essence. Avec une extrême finesse, Gilles marchand fait plonger son lecteur dans une vision du monde très personnelle qu’il aura peine à quitter. On se prend à imaginer à quoi ressemblerait l’humanité si son voisin avait un piano coincé dans la jambe.
Un magnifique roman qui laisse une empreinte inoubliable! » (source)

« Livre superbe, tendre, pudique et surtout inattendu sur la différence. Riche et mérite relecture. « 

« « Un funambule sur le sable » de Gilles Marchand édité par les Editions Aux forges de Vulcain. Je connaissais la plume de cet auteur car l’an passé avec son précédent roman il avait obtenu le prix Libr’A Nous. Dans ce roman il est question de différence, du handicap. Grâce à sa plume poétique l’auteur nous offre un ascenseur émotionnel. On passe du rire aux larmes. Le point commun avec le roman dont j’ai parlé précédemment (« Le livre que je ne voulais pas écrire ») c’est l’optimisme qui se dégage de ce texte. Un livre porteur d’espoir pour les personnes qui subissent un handicap visible ou pas. Petite cerise sur la gâteau : Gilles Marchand fait un éloge de la littérature et du pouvoir des livres. »

« Je suis fan et je suis heureuse de voir Gilles poursuivre son œuvre d’une aussi belle façon. Il me tarde déjà de lire le prochain – non non je ne mets pas la pression… » (la suite, ici)

« Lisez ce livre, retournez en enfance comme je l’ai fait, avec ses rêves et tout ces possibles que l’on s’interdit une fois adulte… Laissez tomber tous les carcans dans lesquels nous sommes enfermés à longueur de vie et plongez vous dans cet univers de poésie magique. Et vive l’anticonformisme !!! » (la suite, ici)

« Gilles Marchand est un magicien. Avec seulement vingt-six lettres il crée des mots, qui mis bout à bout te donne une histoire pleine de charme, de douceur et de poésie. À sa façon, il arrive à transformer le tragique en comique. Il te fait rêver et t’emmène dans son univers plein de fantaisie où son imagination te redonne ton âme d’enfant, dessine des sourires sur tes lèvres et transperce ton cœur. » (la suite, ici)

« J’ai été très touchée par ce nouveau roman tout autant réussi que le précédent, Gilles Marchand se donne à cœur joie en y insérant de multiples références musicales. Il traite ici avec une très belle fantaisie d’un sujet grave, j’ai retrouvé son style si personnel qui évoque Boris Vian. Il nous parle, dans cette belle histoire d’amitié et d’amour, de différences, de solitude, de paternité et de société de l’apparence. Il y a de l’humour, de la poésie, de la tendresse et beaucoup de bienveillance dans cette fable que je relirai certainement un jour. » (la suite, ici)

« Après Une bouche sans personne, Gilles Marchand revient à la rentrée avec un nouveau roman, Un funambule sur le sable à paraître Aux forges de Vulcain. Son héros, Stradi, va a devoir apprendre à grandir avec étrange compagnon, un violon caché dans sa tête. Ode à la différence, à la fois drôle et mélancolique, ce nouveau roman est une délicieuse façon d’attaquer la rentrée. Un immense coup de cœur à découvrir fin août à la librairie. »

Coup de cœur absolu de la librairie LA FORGE à Marcq-en-Baroeul! 

« Le roman sort le 24 août et le 13 octobre, son auteur vient à Marcq ; Gwenaëlle a « hâte de lui parler » de cet « objet littéraire non identifié ». « On retrouve l’univers absurde du premier livre, Une Bouche sans personne. » Un Funambule sur le sable raconte l’histoire d’un homme né avec un violon dans la tête. « Humainement, c’est passionnant : l’instrument se met à jouer n’importe quand, y compris en classe. Puis le personnage grandit, tombe amoureux… Il est touchant, on a envie d’aller prendre un café avec lui. » Originalité « 5,5/5 ! », facilité d’accès 4/5. »

(lien vers l’article)

« Laissez-vous porter par la beauté de la plume. Tantôt grave, tantôt tendre, humoristique aussi. Gilles MARCHAND joue avec les registres, naviguant entre tous, suscitant en permanence l’ascenseur émotionnel. Vous allez pleurer, vous aller rire. » (la suite, ici)

« Roman poétique, fantasque (..) il faut absolument lire ce livre (…) c’est le Boris Vian des temps moderne. » (vidéo)

« J’étais perplexe quand j’ai appris que Gilles sortirait un nouveau roman à la rentrée de septembre alors que le premier opus continue de rencontrer son public, c’est trop tôt me suis je dit. Et puis je me suis plongé dans la lecture de celui-ci, en essayant d’atténuer mes attentes vis à vis de lui, vais je retrouver la même magie que pour le premier, va t’il singer et refaire une pale copie ? Auparavant j’avais lu des romans à paraître de la rentrée où pour beaucoup on retombe dans l’écueil de l’autofiction, surtout des portrait du père, certains même pas bons d’ailleurs mais passons. Et voilà, en quelques pages le décor est planté, un jeune garçon qui est né avec un violon dans la tête vous emporte dans une histoire fabuleuse, pleine de poésie et de fantaisie, d’humour, d’amour. Dans ce livre on parle aux oiseaux, on part dans un bateau, on vit la vie à travers les paroles des chansons, on parle du handicap, de l’acceptation de l’autre et de sa différence, du pouvoir de la lecture pour s’évader et je n’en dirai pas plus pour ne pas dévoyer le texte. J’ai envie de dire juste merci pour ce moment de littérature et vive l’imagination ! »

« Mon premier est « une bouche sans personne », mon deuxième est « un funambule sur le sable », paru il y a quelques jours, mon tout est un écrivain de grand talent. » (la suite, ici)

« Stradi est né avec un véritable violon dans la tête. Cela ne s’invente pas. A la moindre émotion, le violon joue. Mais comment peut-on apprendre à vivre avec un pareil handicap. Quand certains n’ont plus assez de musique pour faire danser leur vie, Stradi, lui, en a bien trop. Il suffit parfois de rencontrer ceux qui sauront parler la même langue, jouer la même musique… » (la suite, ici)

« J’ai adoré lire chaque ligne de ce roman hors norme mais qui a su rester léger sans pour autant entrer dans la pathos… Bref à découvrir sans attendre ! » (la suite, ici)

« J’avais adoré l’année dernière Une Bouche sans personne de Gilles Marchand. On ne se connaissait pas. Ma lecture l’avait touché. On s’est croisés à sa signature, et puis à une remise de prix. Il m’a alors parlé de son nouveau roman qu’il débutait alors quelque part en Novembre. Il m’a demandé si je pouvais le lire, au fil de son écriture, car le sujet me disait-il était proche de moi et qu’il voulait qu’on en parle, qu’il voulait évoquer la différence et le handicap à sa manière, voulait en connaître l’expérience que j’en avais, pour voir s’il était juste. Me cassant régulièrement les dents sur le sujet, j’étais très curieux. Et très impatient. Je crois que c’est à ce moment qu’on est réellement devenus amis, lui dans cet état fébrile du mec qui crée un truc et dont j’allais être l’un des premiers retours, et moi dans la peau de celui qui souhaite de toutes ses forces être à la hauteur de cet honneur, car c’en était un. Et puis j’ai découvert sa merveilleuse histoire, ce roman d’apprentissage, cette merveille de sensibilité et de poésie qui m’a absolument bouleversé. Ce héros qui doit apprendre à vivre avec un violon dans la tête. C’est touchant, c’est émouvant, c’est un bijou et une confirmation éclatante de ce talent que l’on a été nombreux à découvrir avec une Bouche sans personne. Et je m’y suis totalement retrouvé, les sensations de mon enfance, de mon adolescence, mes questions d’adulte. C’est un petit chef d’oeuvre. C’est merveilleux de voir quelqu’un transcender son sujet, imposer sa vision au monde, et se tirer avec un tel brio d’un sujet vraiment pas évident. Rendez-vous fin août. » (la suite, ici)

« Un roman à découvrir au plus vite, à savourer comme la douce mélodie d’un Stradivarius. » (la suite, ici)